Publié dans Société

Pâques 2022 - Des morts et plusieurs blessés

Publié le lundi, 18 avril 2022

Avec la résurrection des festivités pascales et la fin du confinement, l’on craignait le pire quant à la recrudescence du nombre des victimes liées aux accidents. Or, contrairement à ce que l’on s’attendait, la situation fut tellement différente sur le terrain.

On a enregistré un mort pour cause d’accident de la circulation dans la Capitale, dimanche dernier. Il s’agit de cet inconnu d’une cinquantaine d’années qui a été renversé par une voiture sur un axe de la périphérie de la ville. Nul n’était au courant sur ce qui lui est réellement arrivé. D’autant plus que l’automobiliste n’a même pas daigné montrer son nez après le drame. Hier, le service de la morgue de l’HJRA Ampefiloha a affirmé ne pas toujours disposer d’un renseignement sur la victime.

Par ailleurs, le nombre des personnes blessées dans des accidents de la circulation n’aurait pas aussi excédé dix. L’accident survenu dimanche dernier à Ambohitrimanjaka est sans doute le plus spectaculaire. Les 8 occupants d’une voiture s’en sortaient avec quelques blessures lorsque celle-ci s’est renversée lors des tentatives chez le conducteur d’esquiver une moto. L’état des victimes n’est pas à craindre, assure une source hospitalière.

Hier matin, un motocycliste s’est cassé l’épaule droite à cause d’une mauvaise chute. Car en voulant démarrer, et après avoir lancé le moteur, l’accélérateur se serait subitement bloqué, faisant en sorte que la moto s’est cabré et a échappé à tout contrôle. Cette dernière s’est alors ruée contre un parapet. D’où la violence du choc subi par le pilote.

Quant aux victimes des rixes et autres blessures liées à des agressions, le service des urgences de l’HJRA admet que la situation est plutôt calme et on n’a enregistré que quelques cas, souvent sans gravité.

Hormis le cas d’intoxication alimentaire de masse enregistré au cours de la semaine dernière, on n’en a signalé presque pratiquement aucun lors du récent week-end pascal, du moins selon une source auprès du service de la Réanimation médicale ou Réamed de l’HJRA. Et contrairement aux années précédentes, il n’y avait que deux cas de coma éthylique, du moins dans l’après-midi, hier.

Dimanche dernier, un adolescent a dû être évacué d’urgence dans ce centre hospitalier du fait d’un problème de drogue. A noter que le concerné serait placé en garde à vue dans un bureau de la Police pour usage de drogue dure et aurait fait un malaise toujours lié à une prise.

Les autres drames auraient eu lieu dans la Région Vakinankaratra. Une embarcation aurait chaviré sur le lac Tatamarina à Betafo, hier. Plusieurs personnes seraient décédées et d’autres recherchées. Dans une dépêche, l'Agence de presse nationale a annoncé en fin de soirée que deux personnes auraient perdu la vie lors de ce drame.

 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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